Département de recherche archéologique  
 
 
 

 



Les locaux du DRASSM - 147 Plage de l'Estaque, 13016 Marseille



Le DRASSM
L'André Malraux
Opération Lune
Corsaire Concept

 

Michel L'HOUR
Directeur du DRASSM (portrait)
 
 
 
 

Le DRASSM en quelques lignes...

En charge du patrimoine immergé, le Département des Recherches Archéologiques Subaquatiques et Sous-marines (Drassm) est un service de gestion et de recherche à compétence nationale.
Il emploie environ 40 collaborateurs, chercheurs et administratifs.

Son siège est à Marseille, capitale historique de la plongée et berceau mondial de l’archéologie sous-marine.

Le Drassm contrôle un espace maritime aux dimensions planétaires : 11 millions de km² de zone économique exclusive, de l’Atlantique au Pacifique et de l’Indien à la Méditerranée.

Il administre et valorise un patrimoine considérable, fort d’une très grande diversité typologique et chronologique, de la grotte Cosquer (- 28 000 ans) au Lightning P38 de Saint Exupéry (1944).

Depuis sa création, le Drassm a réalisé l’expertise, dirigé l’étude ou contrôlé la fouille de plus de 1 500 sites archéologiques subaquatiques et sous-marins, en France métropolitaine comme en Outre-mer ou à l’étranger (Brunei, Égypte, Gabon, Libye, Malte, Pakistan, Philippines, Salomon, USA…).

Le Département occupe une position forte à l’international et dispose d’une expérience unique des grands fonds. C’est le plus ancien service au monde de gestion du patrimoine sous-marin.

Son expertise est reconnue dans l’évaluation et l’étude de sites aussi variés que des épaves de navire, des habitats lacustres préhistoriques, des aménagements fluviaux ou des grottes noyées.

Le Drassm collabore régulièrement à des programmes axés sur la reconstitution des variations du climat, de la Préhistoire à nos jours.

Son rôle de centre de formation pour les futures générations d’archéologues sous-marins est appelé à se renforcer.

Des découvertes aussi spectaculaires que les statues en bronze d’Agde ou le buste de César mis au jour en septembre 2007 dans le lit du Rhône à Arles et de l'épave de la Lune en 1993 au large de Toulon continuent d’illustrer les propos prémonitoires de Salomon Reinach qui affirmait en 1928 que la mer est le plus grand musée du monde..
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